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MR. FARRELL: No.
SENATOR SMITH: Or of the Western Union Co., of the Postal Telegraph Co., of the Marconi companies, or the cable companies?
MR. FARRELL: I could not say as to that. I know none of them are officers or directors, I believe. Some of them may own 10 or 100 shares of stock in those companies, but not enough to be of any consequence. In ordinary investments a man might own almost anything, probably, but they have no official connection.
SENATOR SMITH: Can you give the name of any stockholder—
MR. FARRELL: No; I could not give any names. We have some 70 or 80 or 100 men—I guess, more than that—in our employ, and some of them may have taken some Western Union stock as an investment, or some Postal Telegraph stock or Marconi stock as an investment. That is none of our business. They are private investments.
SENATOR SMITH: Proceed with your reading of the messages.
MR. FARRELL: At 9:28 A.M., or thereabouts, we published this item.
SENATOR SMITH: I am going to assume, Mr. Farrell, that when you state the time as 9:28, or any other time, you are now speaking of the 15th of April?
MR. FARRELL: Oh, yes; April 15.
SENATOR SMITH: And that when you get beyond the 15th you will indicate that fact?
MR. FARRELL: Yes. At 9:28 A.M. on April 15 we published the following:

Additional passengers on Titanic are Washington Dodge, Henry H. Harris, Col. Washington Roebling, T. Stead, Alfred G. Vanderbilt, J. Stuart White, John B. Thayer, vice president of the Pennsylvania Railroad, and Henry Harper.

That was obtained from the passenger list.
At 10:29, or thereabouts, on April 15, we published the following:

STASCONSET, MASS.
Wireless station here early to-day got message from S. S. Olympic stating damage to Titanic was great.

M. FARRELL: Non.
LE SÉNATEUR SMITH : Ou de la Western Union Co., de la Postal Telegraph Co., des compagnies Marconi ou des câblodistributeurs?
M. FARRELL: Je ne pourrais pas le dire. Je sais qu’aucun d’entre eux n’est un dirigeant ou un administrateur, je crois. Certains d’entre eux peuvent détenir 10 ou 100 actions dans ces sociétés, mais pas assez pour avoir des conséquences. Dans les investissements ordinaires un homme pourrait posséder presque n’importe quoi, probablement, mais ils n’ont aucun lien officiel.
LE SÉNATEUR SMITH : Pouvez-vous donner le nom de n’importe quel actionnaire—
M. FARRELL: Non, je ne pourrais pas vous donner de noms. Nous avons quelque 70, 80 ou 100 hommes — je suppose, plus que cela — employés chez nous, et certains d’entre eux ont peut-être pris des actions de Western Union comme investissement, ou des actions de Postal Telegraph ou de Marconi comme investissement. Cela ne nous regarde pas. Ce sont des investissements privés.
LE SÉNATEUR SMITH : Poursuivez votre lecture des messages.
M. FARRELL: À 9 h 28 environ, nous avons publié cet article.
LE SÉNATEUR SMITH : Je suppose, monsieur Farrell, que lorsque vous dites qu’il est 9 h 28, ou une autre heure, vous parlez maintenant du 15 avril?
M. FARRELL: Oh, oui; le 15 avril.
LE SÉNATEUR SMITH : Et que lorsque vous arriverez au-delà du 15, vous indiquerez ce fait?
M. FARRELL: Oui. À 9 h 28, le 15 avril, nous avons publié ce qui suit :

Les autres passagers du Titanic sont Washington Dodge, Henry H. Harris, Col. Washington Roebling, T. Stead, Alfred G. Vanderbilt, J. Stuart White, John B. Thayer, vice-président du Pennsylvania Railroad, et Henry Harper.

Ceci a été obtenu de la liste des passagers.
À environ 10 h 29, le 15 avril, nous avons publié ce qui suit :

STASCONSET, MASS.
Station sans fil ici tôt dans la journée a reçu un message de S. S. Olympic indiquant que les dommages subis par le Titanic étaient importants.
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